Excellente critique pour Jennifer Tremblay:
Jennifer Tremblay marche dans les pas du génie de la passion tragique, Stephan Zweig. Dans les pas de Marguerite Duras aussi : « Tu me tues, tu me fais du bien. » Et dans ceux d’Annie Ernaux, via Passion simple (Gallimard), notamment : « À partir du mois de septembre de l’année dernière, je n’ai plus rien fait d’autre que d’attendre un homme : qu’il me téléphone et qu’il vienne chez moi. »
Lisez également une entrevue avec l’auteur sur le Huffington Post et écoutez-la à Plus on des fous, plus on lit!